L’œil n’est pas seul à percevoir le monde. Ses connections au cerveau, couplées aux autres sens par lesquels nous ressentons la chaleur, vent froid, odeurs, etc… composent une image incroyablement compacte du monde dont la plasticité et la densité sont encore enrichies par la qualité de notre état émotionnel.
The eye is not isolated in its perception of the world. Rather its connections to the brain and the support of our senses in experiencing heat, cold wind, smells and so on create an extraordinarily compact image of the world, whose placticity and density are perhaps intesified by a particularly appropriate emotional state.
Albert Renger-Patzsch, artiste photographe, 1937
